Archives mensuelles : décembre 2021

Rudolf Steiner : la nature et nos idéaux

HoTT science internelle

C’est un texte écrit en réponse au poème « La nature » de Marie Eugenie Delle Grazie, de la page 8 à 12, ici:

https://studylibfr.com/doc/4301109/morale-et-liberté—editions-triades

Le poème est ici (allemand et anglais):

https://wn.rsarchive.org/Articles/GA030/English/MP1983/NatIde_natur.html

https://wn.rsarchive.org/Articles/GA030/English/MP1983/NatIde_index.html

Au fond, avant la catastrophe de 1900 qui marque la contamination de Steiner par la théosophie anglaise, il n’y pas de grosse différence entre l’idéalisme de Steiner et celui de Brunschvicg. Mais après 1900, l’immanence radicale de l’esprit, intériorité pure, se déploie en un « monde spirituel « d’entités transcendantes, sous l’influence des « hiérarchies célestes » du pseudo-Denys.

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Léon Brunschvicg : vrai et faux idéalisme

HoTT science internelle

comprendre la civilisation à laquelle il appartient, l’âme qui se fait par elle, l’éclairer à la lumière de la réflexion, en y retrouvant l’unité vivante, le foyer intérieur du progrès, l’esprit, telle est l’oeuvre du philosophe. Cette conception place la philosophie au coeur de la morale comme au coeur de la science, au centre de l’humanité….nous croyons avoir montré que la tradition autorise à lui donner le nom d’idéalisme; mais nous voudrions aller plus loin, et dire que c’est dans cette conception même que l’idéalisme conquiert sa propre vérité. Tout idéalisme est incomplet et impuissant qui conçoit l’idéal en l’opposant à la réalité;l’idéal, c’est alors ce que nous ne sommes pas, ce que nous ne pouvons pas être, le chimérique ou l’inaccessible. Et ainsi se constitue le faux idéalisme, celui qui célèbre doctement la banqueroute de la science humaine, afin de fonder la vérité divine sur l’absurdité de la croyance…

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La méditation anthroposophique de la Rose-Croix

La Vérité sur les écoles Steiner-Waldorf

Méditation de la Rose-Croix

La plante et l’homme

« On se représente une plante ; on se la représente s’enracinant dans la terre, poussant feuille après feuille et se développant jusqu’à la floraison. (…) Puis n s’imagine un homme à côté de cette plante. (…)

« L’homme est plus parfait que la plante ; pourtant, je découvre en lui des penchants que je ne vois pas chez celle-ci et dont l’absence me la fait paraître plus parfaite que lui à certains égards. »

« convoitise, passion, erreur »

« Chez la plante au contraire, je vois que, de feuille en feuille, elle obéit uniquement aux lois de la croissance, et que sans passions, elle épanouit ses fleurs aux chastes rayons du soleil. »

La sève et le sang

« Je me représente maintenant la sèvre verte circulant à travers la plante et j’y vois l’expression, dans toute leur pureté, des lois de la croissance. »

« Puis je me représente le sang…

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Rudolf Steiner : Credo l’individu et le tout (1888)

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A partir de la page 13 de :

https://studylibfr.com/doc/4301109/morale-et-liberté—editions-triades

« Le monde des idées est la source première et le principe de tout être. en lui réside une harmo-nie infinie et une heureuse quiétude. L’être qu’il n’éclairerait pas de sa lumière serait un être mort, sans substance propre, qui n’aurait aucune part à la vie de l’univers. Seul ce qui fait découler son existence de l’idée signifie quelque chose dans l’ar-bre de la création de l’univers. L’idée est l’esprit clair en soi, qui se suffit en soi-même et par soi-même. L’individu doit avoir l’esprit en lui, sans quoi il tombe de l’arbre comme une feuille dessé-chée, et aura existé en vain.Cependant, l’homme se sent et se connaît comme individu lorsqu’il s’éveille à sa pleine conscience. Mais il porte aussi implantée en lui la nostalgie de l’idée. Cette nostalgie le pousse à surmonter son individualité et à faire vivre l’esprit en…

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